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Dans Les Derniers Episodes

Efc

24 octobre 2007 3 24 /10 /octobre /2007 22:08

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Je mettais mes poupées russes en rang, leur donnant à chacune la place la moins priviliégiée du monde à savoir leur grande doche juste devant elles, quand je me suis remémorée ma journée digne d'un combat intra-muros.

J'ai ri, mais pas tout le temps. Je suis une aggressive née paraît-il. Allons bon, les gens ne prennent pas la vie par son côté le plus pimenté et me traitent d'énergumène tout droit sorti d'un oeuf Kinder Machin. Je suis plus animée que la moyenne nationale, mais est-ce une raison pour me traîner sur le bûcher de la modération? Non, que niète.


Je disais donc, aujourd'hui ce fut le festival des vieux chnoques. Rien que des loques à remiser au vestiaire, à incendier sous un tas de parapluie, pour la seule (et bonne) raison qu'ils m'ont bouché le passage toute la journée. Que cela soit au réveil, en allant chercher la petite sister, ou en allant à l'unif, pas moyen d'éviter cette population. Il suffit de voir un trottoir, le chnoque est mesquin, il ne te laissera pas le dépasser pour un clou, et ralentira pour le plaisir de voir de la fumée sortir par tes naseaux. J'aurai eu une fourche que j'en aurai embroché plus d'un.

Soit c'est moi qui voit les gens ralentir, soit c'est ma vie qui prend un coup d'accelérateur. Je m'interroge toujours.


Bon dieu de cramic en sauce béarnaise : quoi donc à poiler sur le net ?

Ben rien, je me vautre sur ma banquise bureautique, en mâchonnant un scoubidou, en dessinant de ma beautiful main droite. Ca se reprend vite un coup de mine. Je ne sais toujours pas quelle cover mettre sur mon ipod pour demain, ni même si je ferai des blagues télephoniques.

A y réflechir, je pense que je devrais inscrire mes mains pour des faire des pubs de vernis à ongles. J'ai les plus belles petites mains du monde. Sans rire, sans poilade aucune. J'ai la "hand" classe.


Ok je me tais.


Juste une chose : je ne sais pas ce que vous faites demain, mais en tout cas je serai toujours de ce monde.

Et ça, c'est ce qu'il pouvait vous arriver de mieux. A mon sens.

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22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 13:12

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Le 22, ding dong, les invités sonnent à la porte. Admirez madame Souvenir, madame Fofolle, et Monsieur Volonté. Tout trois sont mes plus fiers alliés.

Dans deux mois j'ai 20 ans, je pourrai alors me plaindre d'être vieille, rabougrie, pleine de rides, je pourrai commencer à me jeter sur les magazines féminins, me bourrer d'infos aussi superficielles que ridicules, à savoir "comment maigrir", sauf que je suis déjà assez mince comme ça, "comment se faire une peau de pêche", non mais ça va j'ai une très chouette peau, "récit de femmes qui se sont lâchées", moi on devrait plutôt m'enfermer dans un zoo à l'heure qu'il est. J'ai à peine dormi cette nuit, et ça me fait comme un effet de dope. Je suis sous hallucinogènes de sommeil, je regarde mes poissons d'un air ahuri, je mets trois heures pour tout faire. La classe.

Aujourd'hui je devrais être en Sardaigne, les pieds dans l'eau glacée de la mer méditerranéenne, le visage résolument tourné vers le ciel bleu, les idées en pagaille mais toujours aussi bien dans ma tête. Ben non. Je reste échouée sur la planète "bled perdu", avec des syllabi à me mettre sous la dent, et des envies à placarder sur les murs. Tout ça parce que ces foutues compagnies aériennes ne tiennent pas compte de moi-même et qu'ils n'ont pas voulu réduire le prix de l'avion, plus élevé en hors-saison.

Soit, j'ai encore l'été prochain pour y aller.

Pff...


"J'ai joué avec mon ombre. Elle m'a laissé la toucher, c'était la première fois que je faisais ça. Elle est sortie du mur, et s'est mise transparente devant moi, cache de fumée grise perturbé par les courants d'air. A quoi bon sourire, il suffit de s'attendrir pour tout ce que l'on reçoit, de soi, des autres."


Grand Sujet

Ma machine senseo. Enfin celle de la maisonnée. Elle est sexy, toute en rondeurs et détours, elle me donne le café le plus facile à faire au monde. Bien que je trouve que l'inventeur ai bien réussi son coup en nous faisant boire plus d'un café par jour avec cette facilité que l'on a de mettre la dosette dans la coupole, il y a néanmoins un truc qui m'horripile, me transforme en Hulk Van den Monette à ma descente de lit : le bac d'eau qui est vide, ou presque.

Haha, je me bidonne.

J'arrive tous les matins en dernière position pour me servir la flaque noire qui me sort de mon brouillard, et comme de juste je me tape la corvée "remplir la bêbête". Tout ça parce que ma mère se sert un double et son copaing aussi. Donc bonne poire je remplis, me sers. ET le lendemain, sans exception aucune, c'est rebelotte.

Mééééééééééé, je voudrais faire une annonce officielle à la maison Philips: "Y a Mona qui n'est pas contente du tout, elle risque de zigouiller les électroménagers de la maison avec son célèbre bazooka, si vous n'agrandissez pas le compartiment eau sur le prochain modèle."

Même les machines se payent ma tête maintenant, on aura tout vu...

Allez, calme tes nerfs monette, ta pelote ressemble à des fils électriques congestionnés.


Je surfe sur le calme ambiant, c'est peu dire

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21 octobre 2007 7 21 /10 /octobre /2007 20:29

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Quand on a décidé que la terre s'était transformée en boule pleine d'accroches, en diable qui ne prend pas soin à nous montrer les marches, alors je tombe. Je passe mon temps à me ratatiner contre le sol, à prendre conscience que mon nez ne fait que rencontrer des portes qui se ferment, et puis pour tout cadeau je n'ai que la possibilité de voir l'étape suivante. Même si rien ne me dit que d'ici là je n'aurai pas rencontré un cachalot furibard qui m'aura englouti aussi sec.

Tout me botte le cul, j'en peux plus. Je suis en phase terminale de bonne humeur, les yeux qui chutent sans arrêt, la loupiotte au point mort. Seule consolation dans ce havre miséreux, je sais que ça repartira, mais j'en ai marre d'avoir la boussole des humeurs qui joue la montagne russe. Un jour c'est "happy hours" à tout temps, et le lendemain, je bave d'ennui et me dégoûte par mes errances. Qu'est-ce qu'il me prend ?

Ce n'est pas tant mon quotidien, je fais tout pour évoluer, pour devenir comme je veux me modèle, et j'y arrive même si ça fait suer, pleurer, ou que sais-je. Mais j'ai beau me tuer à la tâche, des bribes reviennent et me clashent au visage : "Mona tu n'es qu'une fainéante", "Tu crois vraiment que tu souffrais?", "T'as l'air d'aller bien tu sais", "Ah bon, tu vas pas bien ? ", "Arrête de mentir", "Qui t'as dit que tu réussirais quoi que ce soit ?". Je me mords les bras, façon de parler, ai une terrible envie d'arrêter mon sang, de lui faire faire un tour en Arizona, et qu'il me revienne gorgé de bulles pétillantes, qu'il me soûle.

Il me faut une vie en technicolor, mais je l'ai. Il me faut des loisirs qui me plaisent, mais je les ai. Il me faut des amis, mais j'en ai. Il me faut un avenir, j'en dispose. Il me faut des rimes et je meurs en prose. Je n'ai rien à espérer puisque jusqu'à présent j'ai eu tout ce que je veux. Et si l'essentiel m'échappait au point de m'aveugler ? I need some love

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19 octobre 2007 5 19 /10 /octobre /2007 12:36

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Les Sarkozy ont décidé de se dire "bye bye", mes poissons rouges deviennent à peine visibles dans leur aquarium, la vase prenant de l'ampleur, le soleil découpe un carré de lumière sur le mur de ma chambre, et moi je batifole telle le très prisé Oiseau du bonheur. D'un matin à l'autre, j'ai une impression de renouveau. Je me lève dans la même chambre, avec les même paupières rouillées, collées, avec cette même atmosphère bienveillante, mais tout change, même d'un jour à son lendemain. Mon toaster a décidé qu'en cette même matinée, vu que je m'étais levée tard, il allait brûler mes brioches. Choses promise, la première était proche de ce qu'on appelle "le charbon". J'ai du batailler alors, je courais dès que j'entendais le premier clac, signe que d'ici trente secondes la tranche de pain allait être expulsée. Et hop, je mettais fin à son manège en faisant sauter la tartine avant le temps réglementaire. Hé quoi, un toaster n'est jamais qu'une triple andouille.

J'ai donc subi cette semaine le martyr : celui de rentrer dans le froid matinal, celui de me coucher à pas d'heure, celui des réveils prolongés, celui des casse-têtes, et du relâchement à tous les étages de mon humeur. Il est temps de sourire, de travailler pour réussir cette année avec une grand distinction, de ne pas se laisser aller à manger du chocolat (des tablettes), mais plutôt se les faire implanter dans le bide par une séance quotidienne d'abdominaux, et de 20 pompes dès que je m'emmerde. Motivation, branle bas de combat, mes armées sont sur le pont.


Curieuse de voir qui traîne par ici, j'ai regardé les mots clefs que vous écriviez pour atterrir sur cette île bloguesque. La majorité, pour ne pas dire les 3/4, connaissent mon adresse par coeur, le reste échoue avec le mot "Spice Girls", ou encore "ne pas douter de soi", "tatouach", voire même "critiquer les autres". Un malheureux avait tapé Backstreet Boys, et est arrivé à se glisser ici par je ne sais quel miracle. Je ne savais pas que je parlais autant de people de sous-classe, que je passais mon temps à critiquer le monde, ni a bassiner les internautes de mon envie débordante d'un tatouage. Pour ce qui est de ne pas douter de soi, bon là, c'est presque ma doctrine alors, je consens que le lien est bien défini.


Je me remets à lire, c'est incroyable ce que ça m'avait manqué cette activité. Mon parrain m'a offert le livre "Les yeux jaunes des crocodiles", de Katherine Pancol. Ce livre se lit comme ça, d'une traite, je n'en suis qu'à la page 110 mais on y parle que tous les hommes ne sont que des trompeurs, et qu'ils passent leur temps à batifoler, que les femmes haïssent la solitude autant qu'elle ne veulent pas être la troisième roue de charriot... C'est un livre en sucre, comme j'aime à le dire. On le lit, on le savoure, puis on l'oublie. Mais je n'en suis qu'au début, il y a près de 600 pages, donc j'aurai peut-être changé d'avis d'ici là. Je lis en même temps "L'été de Trapellune de Ruth Rendell". Ca c'est un bouquin qu'il faut avoir lu. Foi de moi.


Bon week-end à tous

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18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 21:39

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La superficialité me rend animale, sachez que mon bazooka N71 V, mon nouveau, est toujours prêt à servir, et que non il ne croupit pas dans un coin d'Arizona. J'ai tenté à maintes reprises de sonder l'esprit des plus débiles de cette terre. A croire que c'est vraiment le vide que l'on rencontre vu que je n'ai rien trouvé. C'est agaçant, l'humain passe sa vie à chercher, et le plus souvent à trouver. Il cherche à éviter sa belle-mère, et trouve l'indifférence de sa femme, il cherche ses clefs, et trouve l'indignation de sa femme. Il cherche à se faire pardonner, et ne trouve qu'un mur de froideur bardé de reproches. Pour tout atteinte à notre petit coeur, l'homme devient la cible de l'Eve toute puissante. On aime que ça nous les filles, zigouiller les bonnes intentions quand elles ne font que cacher des miséreuses excuses qui auraient pu être dites à haute voix.


Comme je parlais de superficialité, allons au bout du chemin. Ce sera plutôt un sentier, avec bon nombre de petites pierres qui dardent leur pointe hors de terre, enfoncées qu'elles y sont, par les nombreuses marches qui les ont piétinées. Ces pics ne sont que des leurres. Une petite pointe cachera un monstre, quand une plus grosse ne sera suivie de rien. A force de juger les gens sur leur physique, la manière dont ils s'habillent, à force de rentrer dans le jeu si moderne du mépris collectif, on en vient à se dégoûter soi-même. Pour peu que l'on ne soit pas ignare ni totalement inconscient de ses gestes, il faut y réflechir. Somme nous des chiffons, sommes nous une paire de chaussures, sommes nous notre GSM ? Sommes nous des mini miss, sommes nous laiderons ? On s'en fiche. Ma réponse ne dédaigne rien, elle souligne l'indifférence. Parce que si les attitudes m'indiffèrent, le non respect de l'autre me met hors de moi. En sortant d'un même nid, un enfant sera un saint, l'autre le diable. Tout deux ont tort. Parce que le gentil est un ignare indigne de la pitié qu'il distribue et le diable un méprisant qui parade par ses gerbes de critiques. J'ai peut-être choisi une mauvaise voie en tentant de ne me chercher que moi-même. Mais j'apprend à m'intéresser à ce que sont les autres. Parce qu'au final ce ne sont que les rencontres qui enrichissent.

Chacun a un diamant, poli ou non, qu'il cache bien au fond de lui, en attendant peut-être le jour où il le montrera, touts ces carats resplendissants au soleil. Et quoi, ne saviez-vous pas que ce sont les autres qui vous font briller ?


Bon bon, il arrive d'émettre des jugements hâtifs sur des gens, parce que nous sommes dans un mauvais jour, ou quoi ou qu'est-ce, on trouvera toujours une excuse. Mais de voir que c'est la jeunesse de nos propres rues qui s'approprie les visages des autres comme des dessins à désharmoniser, la touche est facile. Comment changer une mentalité si peu développée que celle de l'enfant, ou de l'adolescent alors même qu'il croit que les canons grecs sont des ploucs, et que la légitimité du savoir se trouve au fond du coeur de ce bel inconnu avec qui il parlotte sur msn. Je n'ai même pas élucidé le mystère du moment où les barrières de leur cerveau ont explosé. Il se peut que cela soit le relâchement d'attention qui les laisse s'ébattre comme des oies dans un concours de plumes artificielles. Je ne sais pas, j'ai décidé que je baisserai les bras, c'est injuste, ils auraient du être aidés pour moins paraître et plus être. Mais le coeur est mosaïque inatteignable, et je ne sais pas jouer aux échecs de sentiments.

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17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 23:31

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Ce sont toujours les errances nocturnes qui font part de leur nostalgie. On se laisse prendre bien que l'on sache que rien n'est moins douloureux que de faire ressurgir des éléments de notre passé.

Si ce que nous étions, ce qui nous avons vécu nous a fait de toute pièce, rien ne sert cependant de se baigner dans un bain de resouvenance. Rien n'y oblige, n'y ne s'insinue de manière sournoise pour nous pousser à admirer le flot scintillant de ce que nous fûmes. Mais nous sommes humains, et aimons à nous faire du mal, non par masochisme, mais par pure envie de se prouver que nous vivons encore.

Il fut un temps où j'étais petite, où tout bloc était celui de la famille

Il fut un temps où j'avais des boucles qui couraient le long de mon visage

Il fut un temps où l'amour aimait son passage

Pour ce qu'il fut, je n'ai rien oublié. Pas même les odeurs, ni les anecdotes. C'est comme de se laisser bercer dans un voile à la fois glacé mais réconfortant, on revoit ses amitiés futiles, les grandes parades de rires et d'éffusion de joie. Où quand tout se tenait, tout ne pouvait qu'aller de soi.

Le passé détruit les coeurs, comme il a détruit mon âme.

Ce n'est pas par misère que je me raccroche aux lambeaux déteints de mes folies passées. J'essaye encore de leur redonner leur couleur. J'ai de l'espoir... Et au final, qu'obtiens-je ?


Haha, ils ont eu peur que je lâche l'affaire encore une fois. Non non, ne vous inquiétez pas, je vais bien. Ce matin, j'aurai même pu tuer mon chat, grand renouveau je vous signale. D'habitude j'ai juste des envie de l'étrangler.

Disons que la journée avait très mal commencé. J'avais posé la première pierre de l'édifice à la gloire de ma mauvaise humeur. Oui, je n'avais aucune envie de parler, encore moins qu'on ME parle, toute personne qui croisait mon regard subissait une attaque au rayon audio, alias la hausse de décibels qui me caractérise si bien. Mais grand bien me fasse, j'étais seule, et mon chat avait été foutu dehors par mes soins tout particuliers : coups de pied au derrière, juste à côté de ses jarrets sans poils.

J'ai du aller chercher ma soeur, au camp d'entraînement, à l'école quoi, à pied, à midi, 15 mn aller, 15 mn retour. Quand je suis rentrée, j'ai été contrainte à diriger la boustifaille, juste parce que "meeeeudame" avait faim. Nomdidjum, ça mange un glork ? J'ai à peine regardé le journal, j'ai plutôt lorgné l'émission de Delarue, le truc qui ressemble à du"C'est mon choix", mais en plus léché. Ca parlait des gosses très amoureux, alors qu'ils ont a peine 7 piges. Trop meugnon de mon propre avis à moi, tout personnel. Han.

Sinon, je crois que vous auriez tout intérêt à planquer vos cigarettes, pour ceux qui fument, parce que les JiCkPPoF patrouillent ferme dans le coin. JiSaiKilPeuPaOutrageusementFumer, chef : Guht. Mauvais temps pour les fumeurs.

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 20:52

S5000752Alors, à part que je me dessine dessus, que je suis passée à la radio, que j'ai créé un forum et que j'ai mis une robe aujourd'hui, oui oui tout va bien dans ma caboche. J'ai brisé les starting block histoire d'être la seule en course.

Au programme du jour, surtout faire les choses les plus stupides du monde, sautiller au lieu de marcher, ne jamais baisser la tête, se foutre de la gueule de "tout un soit-il", c'est-à-dire personne vu que j'ère alone dans la casbah, et puis traumatiser mon quatre pattes, alias mon chat, qui tient, comme je l'ai déjà fait remarquer, plus du caniche que d'un félin. D'ailleurs la bestiole ronfle, inimaginable vu la taille de ses narines, microscopiques telles le diamètre d'une aiguille à coudre.

Il m'est arrivé un truc de dingue ce matin : je n'ai pas reconnu ma voix à la radio, faut le faire quand même. Je croyais ma voix assez fluette voire chiante, mais là, c'est passé comme un truc grave, et très enrobé. Humpf, assez bizare en réalité. ^^

Cet Après-midi j'ai créé un forum, qui se veut un forum de rencontre entre musiciens, afin de permettre à des personnes en Belgique (et en France) de pouvoir se rencontrer de manière plus "humaine" que par des petites annonces. J'avais surtout remarqué que les sites d'annonces étaient souvent privatisés ou uniquement réservés aux Français, excluant les petits belges de par la même. Il y a plusieurs rubriques qui peuvent convenir à tout un chacun, que vous jouiez un instru ou pas, vu que le thème principal du forum est la 'MUSIQUE", non sans blague ? Donc ça ne coûte rien de faire un petit tour, le tout est encore en construction mais la forme y est déjà. Bien sûr il n'y a encore rien d'écrit, j'attend pour ça que vous y établissiez vos quartiers. Pour ceux que ça intéresse, ils peuvent s'y inscrire sans tarder, et faire partager leur passion. Voilà, c'était la BA du jour ...

newteam.exprimetoi.net

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14 octobre 2007 7 14 /10 /octobre /2007 19:58

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JEUDI : Han c'était bien les Tellers, tous aussi fins que des cures dents mais une bonne patate à la guitare. Il semble que l'alcool aide souvent à faire oublier que l'on se trouve sur une scène. Ils étaient avec leurs potes des BB Brunes, mais tous beurrés quoi.

VENDREDI : No Idea

SAMEDI : On a été à Tour et Taxis pour voir l'expo "Sound And Music". Beaucoup de boucan, même si j'étais toujours aussi "agagaga" de voir des instruments. J'aurai bien voulu essayer une batterie, mais soit c'était un crack du tempo dessus soit une gamine de 7 ans qui a pas voulu décoller ses fesses du siège, préfèrant faire une impro très..rythmée que de me laisser toucher aux baguettes. Hum.

L'avantage de ce genre d'expo, c'est que de voir les consoeurs de ma gratte me donnait encore plus envie d'en faire. Une fois rentrée, j'ai jouer pendant trois heures de suite. Je sais presque faire une chanson des Arctic Monkeys. Et mes petites impros me contentent pour le moment. J'essaye de trouver les notes pour mes compos, à l'oreille, c'est un peu comme de jouer à la devinette. Alors je préfère autant passer par piano d'abord, puis transférer le tout sur mon manche.


Je ne suis qu'une ignoble traîtresse, je sais, j'ai omis de passer par ici pour dégueuler mes rancoeurs passagères, ou mes louanges, mais il se peut que par moments j'ai besoin de lâcher prise. En tout cas, toute cure passée, j'ai repris les rennes dans mes petites mains, et la cariolle avance à bon pas.

Je suis depuis deux jours à un niveau de créativité trop élevé. J'ai à peine regardé la telly, c'est pour dire...J'ai tendance à croire que la reprise de mes lectures me donne une grande bouffée de délire lettré, et me force à écrire des pages et des pages de textes, de chansons, de poèmes, toussa. Ce qui n'est pas pour me déplaire, parce que mes marches récentes dans le désert m'ont vraiment donné soif, et je n'avait plus aucune lettre en gourde.

J'ai donc décidé d'entrer dans un centre de réadaptation livresque, histoire de me maintenir cette cadence, qui me donne une patate d'enfer et une envie de donner des baffes à "tout un soit-il", juste pour le fun. Ho, quite great isn't it ? Donc j'ai transformé ma chambre en faisant basculer mon édredon de mon lit à par terre, histoire de m'étendre de tout mon foutu long sur le sol sans même sentir le parquet dans mes genoux ou mes coudes. Ca c'est le plaisir de la casbah.

J'espère que le Week-End fut bon, en tout cas ici il a fait très soleil, et je n'en ai pas profité : mode * PROUD*. God a sauvé la Queen hier, c'est les Anglais qui ont ratatiné la Francé sous un ballon ovale, fallait le faire vu la taille et la hargne des joueurs camemberts.

N'oubliez pas votre dose d'arsenic ce soir

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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 15:23

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Il se peut bien que je soie de bonne humeur. Il se peut aussi que je vire grand méchant loup et que j’aie une envie terrible de me bouffer un bout de vie ce soir. Je vais assister au Concert des Tellers, et voir ce qu'ils ont à me raconter. Je suis Vip pour une soirée, laissez la star aller dans sa loge.

Seulement, question existentielle, typiquement féminine : keskejevaibienpouvoirmemééétreeeuuu ?

J'ai sorti les boas, les bandeaux phosphorescents, les bracelets à piques, et les jupes tendance folklo, mais il y a comme une petite voix qui me dit que je ne suis pas dans le bon question accoutrement. C'est en me voyant dans le miroir, fringuée telle la maya l'abeille qui aurait eu du mal à butiner, que je me dis que mes yeux sont sur mode toupie, et qu'il est temps de remettre les idées en bon ordre. Réflexion force 3, j’ai fait une seconde tentative, mais le déguisement me donnait l’air de bunny le lapinou. Alors, j’ai remisé mes loques, et choisi le côté trash :: on va rester dans le sobre mais le tout avec une touche super recherchée, qui d’ailleurs n’attends qu’à ce qu’on la trouve. Manque de bol, j’ai pas d’idée.

Ceci dit, il paraît que de se saoûler pendant une soirée permet de mettre un certain cachet à son attitude pour la rendre encore plus rock and roll, again. Mais l'idée de me cramponner au bar, avec un verre rempli toutes les 5 mn ne m'attire qu'à moitié, l'autre moitié pouvant se décider selon le degré de Bombasserie du serveur.

Soit, je vais gratouiller mon cerveau, et ma guitare de par la même. Bonne cuite à tous.

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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 20:09

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Ode à la monette en mal de défense immunitaire active : Ô toi la mona, reste chez toi, bouge pas de ton lit, tu emmerdes ton monde et tu fais que râler parce que tu as mal partout et mal digéré.

Je me sens flagada, le moral dans les chaussettes, alors qu'hier encore on aurait pu me prendre occupée à cueillir des marguerites dans un champ de paquerettes. Il faut croire que l'ascenseur de mon bon état physique en avait marre de la haute altitude et a préféré les profondeurs de la maladie. A la clef, bonne humeur dégradée, mal de bide, de tête, nausée, et tout le toutim. Mais quel plaisir de s'emmitoufler dans une couette, avec juste la tête qui ressort. Je peux lancer la mode gros boudin, mais pas sûre que tout le monde apprécie l'innovation.

Il se peut que j'ai fait une indigestion, pour tout vous dire, mais si mon estomac continue ses simagrées, moi je vais le renvoyer de là où il est, parce que ce n'est pas les pratiques de la maison, et les règles sont strictes : ne pas faire chier, même si le chef cerveau envoie des ordres contradictoires. Faut tout gérer, pas contrôlable, surhumain. C'est pas possible qu'il y ait un minimum d'ordre, non ????? Bordel, même dans mon Moi.

Je me les caille

J'ai fini la saison 2 de Dr [H]ouse hier, et j'ai engendré aujourd'hui sur le CD 1 de la saison 1, jamais vu de par mes yeux. Ces américains sont doués quand même. C'est pas des français ou des belges qui vont te créer du suspense et de l'humour en un épisode de Julie Lescaut ou de Joséphine "l'ange pas malin". Oui, je suis addict, et j'avoue que ça me plaît, parce que du travail bien fignolé ne peut qu'être regardé avec un oeil plus critique. Et j'ai beau chercher, les failles sont minimes.

Soit, j'espère que vous avez tous passé une bonne journée où que vous soyez, au soleil, sous la pluie, à midi, ou à minuit, "il y a tout ce que vous voulez aux Champs Elysés".. Hum, hallucination passagère.

Tantôt, J'avais une énorme envie de fraises-crème fraîche. Et Harry n'a pas voulu me passer sa baguette magique. 'Tain le goujat, j'ai pris Hedwige pour le chantage, mais il n'a pas cédé. Tu vas voir les vers que je vais lui mettre dans son lit. Bien fait, tiens.

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